Anne Zimmermann
Histoire
Je suis artiste plasticienne et vis en Alsace (Wittersdorf).
Je ne m’attache à aucun média en particulier mais croise différentes pratiques comme le volume, la céramique, le dessin, l’écriture, la vidéo, l’installation et la performance.
En 2003 je crée un personnage au nom de Paula Orpington. Personnage mi-femme, mi-poule fabriqué avec 50 peaux de poulets naturalisées. J’habiterai ce personnage jusqu’en 2008. Ce personnage décède symboliquement en 2010et sera autopsié lors d’une performance à la Kunsthalle de Mulhouse.
Depuis, ma réflexion se poursuit sur les rapports que l’on entretient avec l’organique et l’animalité. Entre 2016 et 2018, j’ai installé une série d’œuvres en extérieur avec des ruches et des papillons en partenariat avec La Filature de Mulhouse. La rédaction de textes poétiques a souvent accompagné cette activité artistique jusqu’à en devenir par la suite un élément constitutif. Ces textes peuvent être associés à des vidéos, des performances ou sont destinés à être chantés.
En 2013, je participe au groupe électronique «Picobelo». Un album est sorti en 2018.
«Homsweet home» exposition en 2018 en partenariat avec l’O.N.F. suisse, accompagne la poursuite de mes recherches de prise de vue d’animaux forestiers. Ce travail se poursuit aujourd’hui;
Actuellement, je travaille sur la série« Mes p’tites vaisselles». Série d’anciens services en porcelaine et faïence que je détourne en nouvelles propositions plastiques. Ici nous proposons des trophées sur les animaux de nos forêts.
Je suis artiste plasticienne et vis en Alsace (Wittersdorf).
Je ne m’attache à aucun média en particulier mais croise différentes pratiques comme le volume, la céramique, le dessin, l’écriture, la vidéo, l’installation et la performance.
En 2003 je crée un personnage au nom de Paula Orpington. Personnage mi-femme, mi-poule fabriqué avec 50 peaux de poulets naturalisées. J’habiterai ce personnage jusqu’en 2008. Ce personnage décède symboliquement en 2010et sera autopsié lors d’une performance à la Kunsthalle de Mulhouse.
Depuis, ma réflexion se pour ...
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